Culture

L'ex-maire de Saint-Lambert Louis Michel Gratton présente un nouveau roman

le vendredi 15 décembre 2017
Modifié à 10 h 43 min le 15 décembre 2017
Par Sarah Laou

slaou@gravitemedia.com

Reconverti en auteur, Louis Michel Gratton, qui a occupé le fauteuil de maire de Saint-Lambert de 1981 à 1986, publie un troisième roman réaliste sur fond d'intrigues politiques, Illusion de pouvoir. Depuis 2011, celui qui a été tour à tour homme d'affaires, spécialiste du financement d’entreprise, maire de Saint-Lambert, préfet de la municipalité régionale de comté (MRC) de Champlain ou encore membre du comité exécutif de la Commission de transport de la Rive-Sud, a entrepris la rédaction de romans politiques. L’action se déroule dans les coulisses de la politique montréalaise, un monde que Louis Michel Gratton a appris à connaître lors de ses différents mandats dans la région. Après Le testament d'Eusèbe et Le candidat, Louis Michel Gratton signe avec Illusion de pouvoir la suite des aventures de Maxime Beaubien, le personnage principal de sa série Montréalie. «Il y a quelques années, je réalisais un rêve avec la publication de mon premier roman centré sur les motifs souvent imprévisibles qui poussent des personnes à se lancer en politique. C’était le début pour moi d’une nouvelle carrière», déclare l'auteur. Les dessous du pouvoir Dans son roman publié en 2013, l'auteur dévoilait l'envers et les rouages d’une campagne électorale à la mairie de Montréal. Dans ce troisième volet à paraître, son «héros» Maxime Beaubien accède enfin au pouvoir, mais se retrouve vite face à la désillusion, aux situations complexes et à des péripéties inhérentes à son statut de leader. «Après une difficile campagne électorale, Maxime Beaubien est élu maire de Montréal avec la ferme intention d’obtenir pour Montréal et sa région les outils nécessaires à son développement, débute ainsi le synopsis du roman. Dès les premiers jours de son mandat, les embûches administratives et politiques se dressent devant lui et il réalisera que son titre de maire ne lui confère que très peu de pouvoirs […] et que la politique complique sa vie amoureuse». (S.L.)