Société
Art de vivre

Quatre choses à stopper pour commencer 2016 en beauté

le mercredi 13 janvier 2016
Modifié à 0 h 00 min le 13 janvier 2016

Nous voilà donc au moment de l’année où nous tentons une fois de plus de remettre en marche le meilleur de nous-même!

Stop à la quête de la perfection
Quand on se compare, se console-t-on vraiment? En fait, cette quête utopique de la perfection fait plutôt en sorte de diminuer le pouvoir que nous avons sur notre propre vie en nous rendant beaucoup plus dépendant des autres.

Certes, il y aura toujours quelqu’un dans notre entourage qui semblera avoir une vie plus excitante ou une sexualité plus épanouie. Inspirez-vous de ces individus. Afin de vous permettre d’évoluer et de progresser vers votre propre idéal de vie, permettez-vous plutôt de vous comparer à vous-même. À la personne que vous étiez il y a six mois, un an. Alors, où en êtes-vous?

Stop à la rumination
«J’aurais pu, j’aurais dû, il aurait fallu que…» Un événement stressant survient, et hop, voilà que votre esprit est envahi par des pensées obsédantes. Il n’a suffi que de quelques minutes, top chrono, pour que le petit hamster intérieur vous construise un scénario digne d’Hollywood. Quel fléau, ces ruminations!

S’il est impossible d’avoir l’entier contrôle sur nos pensées, nous pouvons quand même tenter de comprendre les émotions qu’elles cachent afin de réduire leur intensité. Mettre ses états d’âme sur papier est une excellente façon de prendre du recul afin de favoriser une meilleure analyse.

Stop au pilote automatique
La capacité à se projeter dans l’avenir est indispensable au développement personnel. Cependant, à force de vouloir trop planifier l’avenir, nous nous empêchons souvent de vivre le moment présent. Il faut donc apprendre à trouver un juste milieu.

Pensez-y; prenez-vous réellement le temps d’apprécier la vie et les petits bonheurs qu’elle a à offrir jour après jour? Pourtant, les enfants le font si bien! Et si nous les laissions nous guider.

Stop au «oui» facile
Qui n’a jamais accepté une demande par simple incapacité à la refuser? En général, la peur est le premier élément qui nous pousse à dire «oui» aux autres malgré nous. On redoute les conséquences d’un refus et on culpabilise.

Au final, on en vient rapidement à oublier ses propres besoins! Mais refuser intelligemment s’apprend; cela commence par le fait de comprendre qu’un vrai «non» donne toute sa valeur au «oui»!

 Véronique Vincelli, diplômée en sexologie

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