Cours d’école en milieu défavorisé: Catherine Fournier signe un gain important

La députée de Marie-Victorin Catherine Fournier a récemment signé un gain majeur pour sa circonscription: les modalités du programme d’embellissement des cours d’école ont été revues par le gouvernement, qui hausse le financement par projet et priorise désormais les écoles en milieu défavorisé. «L’un de mes principaux engagements électoraux était de faire avancer les projets de rénovation des cours d’école dans Marie-Victorin, plusieurs étant complètement vétustes et exemptes de verdure, rappelle la députée. Dans la dernière année, je suis intervenue à plusieurs reprises auprès du ministre de l’Éducation Jean-François Roberge pour que les modalités de financement du programme d’embellissement des cours d’école soient revues pour permettre aux écoles en milieu défavorisé, où la collecte de fonds est difficile, de recevoir aussi leur part du gâteau.» «Dorénavant, les écoles ayant une cote de 9 et de 10 sur l’échelle de défavorisation seront priorisées pour les projets de réfection des cours et le plafond de contribution gouvernemental doublera de 25 000 à 50 000$, en plus de faire passer la proportion de contribution de la communauté de 60% à 40%», a-t-elle expliqué. «Je salue la hausse du financement décrétée par Jean-François Roberge, mais j’estime qu’il faut aller encore plus loin, poursuit la députée. Alors que le gouvernement investit cette année 2,3 G$ pour les bâtiments scolaires, le ministre avait promis qu’il consacrerait «une partie» de cette somme aux cours d’école… Avec une enveloppe totale de 5 M$, le programme d’embellissement des cours reçoit seulement l’équivalent de 0,002% de ce budget. De plus, la proportion de contribution de la communauté devrait être établie en fonction du milieu, et non pas être uniforme partout.» Sur la photo, on aperçoit Jean-François Roberge et Catherine Fournier, lors d’une visite de la cour de l’école Hubert-Perron, en mai dernier. (Source: Bureau de la députée de Marie-Victorin)