Politique

Il faut s’occuper de la Rive-Sud maintenant, estiment les candidats de la CAQ

le mercredi 12 septembre 2018
Modifié à 15 h 47 min le 12 septembre 2018
Présents, mardi, lors de la présentation de la mairesse de Longueuil, Sylvie Parent, La Rive-Sud au cœur des résultats électoraux, plusieurs candidats de la Coalition Avenir Québec (CAQ) déplorent les années de vache maigre du gouvernement libéral et de l’opposition péquiste, à l’endroit de cette importante région de la province du Québec. Ils s’entendent pour dire qu’il est maintenant temps d’y remédier. La CAQ ne s’en cache pas, elle partage sa vision, ses idées et croit au développement de la Rive-Sud. On pense notamment au projet de mobilité de l’agglomération de Longueuil. «À la lumière des commentaires reçus des citoyens, il est clair qu’ils désirent un gouvernement sérieux, qui apportera un changement positif dans leur quotidien. Ce choix, c’est la Coalition Avenir Québec. Il est temps que la Rive-Sud joue dans les grandes ligues», lance Martyne Prévost, candidate dans Marie-Victorin. Pour Ian Lafrenière, candidat dans Vachon, il est inacceptable qu’une ville comme Longueuil soit traitée comme une quantité négligeable par le gouvernement libéral. « Ça fait 15 ans que les libéraux négligent la Rive-Sud. Seule la CAQ est capable de sortir Longueuil et la Rive-Sud du marasme actuel. Le parti Québécois est également responsable de la situation. Il n’a pas été en mesure de faire entendre la voix des Longueuillois auprès du gouvernement de Philippe Couillard », ajoute M. Lafrenière. «Les gens de la Rive-Sud doivent comprendre que seule la CAQ est positionnée pour réaliser des choses au cours des quatre prochaines années. S’ils votent péquiste, ils se destinent à l’opposition pendant un autre quatre ans. La Rive-Sud en souffre depuis 15 ans», renchérit Lionel Carmant, candidat dans Taillon. Pour la CAQ, l’équation est bien simple pour mettre fin à cet immobilisme qui fait mal à la région. La CAQ doit avoir des députés caquistes sur la Rive-Sud, dont dans Taillon, Vachon et Marie-Victorin et un gouvernement majoritaire. C’est de cette façon que la voix de la Rive-Sud sera entendue et qu’elle aura enfin la chance de transformer ses ambitions en réalisations. (Source : Coalition avenir Québec)