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Ouvrir les fenêtres

le mardi 28 septembre 2021
Modifié à 0 h 00 min le 25 septembre 2021
Par Contenu commandité

(photo gracieuseté : textuel)

Il y a un an, en pleine pandémie, un membre de notre équipe a conçu une affiche qui pouvait être apposée à une fenêtre pour que la communauté puisse savoir qu’un voisin vivait un deuil. Ne vous surprenez pas si, lors de votre marche quotidienne, vous apercevez une rose sur fond violet à la fenêtre de plusieurs maisons de votre quartier.

 

Jusqu’en 1960, les gens combattaient la maladie à la maison. Souvent, les derniers adieux s’y faisaient. Chez plusieurs croyants, on allait jusqu’à voiler les sources de lumière afin que l’âme du défunt ne retarde pas son entrée au paradis. Ensuite, on accrochait un crêpe à la porte si le défunt y était exposé : noir pour un homme, gris ou violet pour une femme et blanc pour un enfant. Les couleurs de notre affiche sont un clin d’œil à cette tradition oubliée, qui donnait beaucoup d’importance au rituel.

 

Plusieurs autres croyances et rituels accompagnaient les endeuillés. Pendant toute la durée du deuil, on évitait de danser et même d’écouter de la musique à la radio. Les proches du défunt observaient le deuil pendant un an et durant six autres mois, ils respectaient un demi-deuil en assortissant les vêtements noirs du grand deuil au blanc et violet. Quant aux hommes, ils portaient un brassard noir au bras. Toute personne qui ne suivait pas ces règles s’exposait à la réprobation générale.

 

En 2021, il n’est pas rare de remarquer que dans certains hôpitaux de la province, certains membres de la famille du défunt ouvrent la fenêtre de la chambre où la personne est décédée, pour permettre à son âme de quitter paisiblement ce monde.

 

Autrefois, l’inhumation était plus protocolaire et rassemblait les villageois. Elle se déroulait en présence d’un prêtre et d’un ou deux enfants de chœur, généralement au cimetière paroissial. Aujourd’hui, même chez les plus croyants, les rites funéraires et l’hommage aux disparus ne revêtent plus le même décorum et sont beaucoup plus expéditifs. La Coopérative funéraire du Grand Montréal s’est adaptée et propose des solutions uniques et très modernes adaptées aux réalités d’aujourd’hui pour faire un dernier adieu à vos proches en respectant vos volontés.

 

Vous trouvez que les fleurs, les diaporamas de photos, les signets et les monuments sont aujourd’hui une façon trop convenue et rapide de souligner le passage sur terre de vos proches? Vous aimeriez un rituel plus significatif? Laissez notre personnel vous présenter notre programme unique Symphonie, qui dépasse le simple fait de personnaliser des funérailles en vous impliquant dans le déroulement.

 

 

https://www.cfgrandmontreal.com/services/ici-nous-sommes-deuil/

 

(source: textuel)