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La coopération ne rend pas riche individuellement, mais immensément riche collectivement

le mardi 22 septembre 2020
Modifié à 16 h 20 min le 28 septembre 2020
Nous sommes fascinés et fiers des entrepreneurs québécois qui rayonnent à travers le monde. Avouez que c’est un plaisir coupable d’écouter un épisode de Dans l’œil du dragon à la télévision! Comment rester indifférent face aux histoires à succès d’entrepreneurs qui dorment dans leur voiture, d’autres qui bricolent un prototype dans leur garage et qui aujourd’hui collectionnent les voitures de luxe. Ces gens ont une caractéristique commune : ils voyaient grand avec leur idée et leur vision, et se sont entourés de gens qui ont cru en eux! Quand un visionnaire s’investit autant, non pas par intérêt personnel, mais pour le bien commun, c’est ça la coopération! Tisser des liens Le mouvement coopératif tirerait ses origines d’un groupe de 28 tisserands de Rochdale en Angleterre qui ont fondé la première société coopérative, The Rochdale Society of Equitable Pioneers, en 1844.  Ils avaient constaté que leur niveau de vie était non seulement dépendant des manufacturiers, qui décidaient des salaires, mais aussi des commerçants, qui fixaient le prix auquel ils vendaient leurs produits. Ils se rassemblèrent donc pour fonder cette coopérative grâce à de modestes souscriptions et ouvrirent un magasin coopératif. Le but était simple : garantir à la clientèle des prix raisonnables (en vendant au comptant) et une bonne qualité de produits. Cette belle association de gens solidaires a permis d’humaniser le rapport de force avec les propriétaires d’usines avares qui contrôlaient les prix, d’offrir des augmentations de salaires substantielles, d’éliminer les dettes et le crédit de plusieurs membres, de répartir les bénéfices et de permettre une société plus juste et équitable pour tous. Un 20$ qui fait beaucoup de chemin Chez nous, le modèle coopératif du mouvement Desjardins issu de cette belle idée altruiste est un succès reconnu mondialement. À l’époque, le mouvement Desjardins avait permis à vos ancêtres d’acheter une part sociale au coût de 5 $ et d’avoir accès à des hypothèques pour acheter leur première maison ou exploiter leur terre, ce qui était très difficile avec les banques traditionnelles. Aujourd’hui, devenir membre de la Coopérative funéraire du Grand Montréal, c’est aussi aider son prochain à avoir des funérailles dignes, de qualité et à un prix juste. C’est s’associer à une organisation dynamique qui voit grand pour sa communauté et qui repose sur des valeurs d’entraide solides.  La coopération ne rend pas riche individuellement, mais immensément riche collectivement.  Faites comme nos 20 000 membres et posez un geste de solidarité.  Visitez le www.cfgrandmontreal.com/devenir-membre/    

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