Une occasion de redécouvrir l’histoire de La Bolduc

Alors que la célèbre Bolduc reprendra vie sur les écrans du Québec grâce à l’interprétation de Debbie Lynch-White, l’auteure longueuilloise Marie-Louise Monast offre une réédition de son roman La Bolduc: le violon de mon père, en librairie le 7 mars. Marie Louise Monast raconte l’étonnante histoire de la grande chanteuse, à travers ses yeux, son coeur et son âme, de sa Gaspésie natale jusqu’aux feux de la rampe à Montréal. Dotée d’une personnalité colorée et d’un caractère à toute épreuve, Mary Travers, dite La Bolduc, ne laissait personne indifférent, allant même jusqu’à déranger l’autorité religieuse. Ses chansons comiques à double sens qui collaient à la peau des petites gens étaient ses armes. Si la presse banalisait son succès, qualifiant la chanteuse de «commune et vulgaire», celle qui turlutait à la perfection continuait à divertir son public. Partout où La Bolduc était invitée, elle s’y produisait à guichets fermés. La Bolduc: Le violon de mon père retrace le parcours de Mary Travers, la première auteure-compositeure-interprète du Québec à vivre de son art. Auteure de plusieurs poèmes et nouvelles, Marie Louise Monast est l’auteure de plusieurs poèmes et nouvelles. Au fil de son écriture, elle s’est attachée à cette artiste, n’hésitant pas à affirmer que «ce n’est pas moi qui ai choisi La Bolduc, c’est elle qui m’a choisie».