Actualités
Éducation

Plus de 200 000$ amassés par la Fondation du cégep Édouard-Montpetit et l’ÉNA

le jeudi 02 juillet 2020
Modifié à 8 h 29 min le 30 juin 2020

Malgré l’annulation de deux événements-bénéfices, la Fondation du cégep Édouard-Montpetit et l’École nationale d’aérotechnique (ÉNA) ont amassé 217 100$ grâce aux acteurs-clés de l’aérospatiale Les donateurs de Vins de prestige et de la soirée de remise de bourses Gala Mérite ÉNA ont choisi de continuer d’appuyer la relève. Une somme totalisant 217 100$ a été amassée grâce à la générosité des entreprises et des partenaires de l’industrie aérospatiale. Les fonds récoltés permettront la remise de 25 bourses à autant d’étudiants de l’ÉNA afin de récompenser leurs efforts, leur persévérance et l’atteinte de leurs objectifs pédagogiques. Cette somme permettra également de soutenir des projets pédagogiques et parascolaires, d’encourager les étudiants dans la poursuite de leurs études et de soutenir ceux qui éprouvent des difficultés financières. «Avec les projets majeurs liés au développement du Cégep, comme la modernisation de l’ÉNA et l’aménagement d’un Pavillon de la santé et de l’innovation au campus de Longueuil, l’appui de la Fondation est essentiel pour favoriser la mise sur pied de projets novateurs», souligne Marie-Krystine Longpré, directrice générale de la Fondation du Cégep et de l’ÉNA. Appel à la mobilisation Cette implication des joueurs de l’industrie aérospatiale a aussi été rendue possible grâce à l’appel à la mobilisation des coprésidents d’honneur de l’édition 2020 de Vins de prestige, soit Guillermo Alonso, directeur général chez Héroux-Devtek Montréal, Robert Dewar, chef Services à la clientèle et Ingénierie chez Airbus et Benoit Hudon, président et chef de la direction de la division Aéronautique et Transport terrestre de DRAKKAR. Les entreprises AAA Canada, Airbus et Desjardins, partenaires majeures de l’événement, ont remis chacune 20 000$ à la Fondation. «Le soutien des grandes entreprises envers la relève est primordial dans un contexte où la main-d’œuvre qualifiée en aérospatiale est en forte demande», indique Benoit Hudon. (Source : cégep Édouard-Montpetit)