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Ski Saint-Bruno - Leur vision : offrir une montagne accessible 4 saisons

le mercredi 07 mai 2025
Modifié à 10 h 03 min le 07 mai 2025
Par Publireportage

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Stéphanie Grenier et Patrice Boire brandissent la Conversion Cup 2024 qui confirme que Ski Saint-Bruno est une véritable pépinière de nouveaux skieurs à l’échelle du Québec, du Canada et même de l’Amérique du Nord. (Photo : gracieuseté)

Chaque mois, partez à la rencontre des entrepreneurs les plus inspirants de la région et découvrez leurs histoires à succès. Plongez dans les raisons pour lesquelles la Rive-Sud a été propice à leur croissance. Ces segments mettront en avant leurs parcours, défis et succès, offrant une vitrine à leurs histoires, actualités et réalisations.

Une présentation de

 

Pour gravir une montagne, il est préférable d’être en équipe pour réussir, et encore plus lorsqu’on parle d’une… montagne de défis! 

À ce chapitre, les deux nouveaux copropriétaires de la station Ski Saint-Bruno (SSB), Stéphanie Grenier et Patrice Boire, sont plus que confiants, car ils ont des compétences qui se complètent à merveille. « Tous les deux, on est complémentaires, c’était un fit parfait : il avait déjà été directeur général adjoint ici et moi, j’avais été directrice développement aux ventes et marketing », a expliqué Stéphanie Grenier.

C’est donc à titre de président-directeur général et de vice-présidente ventes, développement et marketing respectivement que Patrice Boire et Stéphanie Grenier prennent le flambeau afin de poursuivre la mission des 60 dernières années qu’ont su mener les familles Dulude et Couture, et même la mener plus loin.

Petit mont, grandes réalisations!

Le mont est de dimension modeste, mais ses réalisations sont grandes! Près des centres urbains, elle attire environ 400 000 visiteurs en saison hivernale et 50 000 à l’automne.

Au fil des ans, Ski Saint-Bruno a développé la plus grande école de ski au Canada, devenant du coup une véritable pépinière de nouveaux skieurs. Mais pour devenir une véritable pépinière, il fallait trouver des façons de contrer une statistique qui ne pardonne pas dans cette industrie : huit personnes sur dix qui essayent le ski pour la première fois ne reviendront jamais sur les pentes…

Toutefois, à force de travail et d’encadrement, Ski Saint-Bruno a remporté le prix Conversion Cup 2024 de la National Ski Areas Association, remis annuellement à l’une des 800 stations de ski nord-américaines s’étant démarquée par ses actions pour maximiser la conversion de nouveaux skieurs et planchistes dans la pratique des sports de glisse.

Le Parcours évolutif sur neige Skigo/Snogo, instauré lors de la saison 2021-2022, a permis d’atteindre des taux de rétention allant de 65% à 83%, établissant même un taux record de 85% en 2022-2023.

Et quant aux hivers qui ne sont plus ce qu’ils étaient, ils n’inquiètent pas les deux copropriétaires, comme l’explique Stéphanie Grenier. « On a un très bon système d’enneigement. Il y aura toujours du temps froid. Je pense que ça va passer par l’innovation, la diversification de l’offre, les nouvelles technologies, donc on va avoir des canons encore plus performants. On est en train d’expérimenter : on couvre la neige, on l’abrille avec des toiles. On est vraiment aux premiers tests. »

Réflexion et… action!

Leur vision est d’offrir une montagne accessible à tous au cours des quatre saisons. « On a une montagne magnifique qui dort l’été. Il faut la rendre accessible, mais sous quelle forme, on ne le sait pas encore. C’est sûr que le vélo de montagne a toujours fait un peu partie des projets parce qu’on veut mettre en place une mosaïque d’activités. »

L’heure est donc à la réflexion, mais aussi à l’action, car c’est dans l’ADN des deux copropriétaires qui sont membres de la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS). « Déjà cet automne, on va bonifier notre offre. On veut l’ouvrir la semaine aux groupes corporatifs, aux écoles, et que ce soit aussi en mode randonnée. On a du yoga maintenant qu’on fait dans la montagne. Puis on est en train de voir s’il n’y a pas d’autres activités qu’on va offrir, car on veut être un petit peu plus en mode multisports. »

« Sur la table, on a un peu de tout en ce moment! On devrait assembler notre casse-tête d’ici décembre pour avoir une bonne idée d’où est-ce qu’on s’en va d’ici cinq ans », a lancé celle qui demeurait sur la Rive-Nord, mais qui est tombée en amour avec la Rive-Sud. « J’ai découvert une oasis de neige en plein cœur d’un milieu urbain! On a une nature extraordinaire! On est à côté de Montréal, à côté des grands centres urbains, ce qui nous permet un peu de goûter aux deux », en soulignant que c’est également un milieu de vie extraordinaire pour élever une famille.