Changer de cap: lumière sur des solutions concrètes pour réduire les émissions de GES

Abrielle Sirois-Cournoyer, originaire de Longueuil, est l’une des cinq diplômés du programme de maîtrise en gestion de l’innovation sociale de HEC Montréal qui ont parcouru le Québec l’automne dernier à la recherche de projets novateurs permettant de réduire notre empreinte carbone. Il ressort de ce périple Changer de cap, sept capsules documentaires qui mettent en lumière des solutions exemplaires pour se loger, se déplacer, se nourrir, s’outiller, s’entraider et se mobiliser. Changer de cap est un projet de sensibilisation qui vise à donner espoir aux jeunes du Québec, à les inviter à rejoindre le mouvement jeunesse mondial émergent et à faire partie de la solution pour créer un monde meilleur et viable. Jusqu’au 31 mars, les ambassadeurs de Changer de cap entreprennent une vaste tournée dans les cégeps de la province pour présenter la série et partager leur expérience. Ils seront dans les régions de l’Estrie et de Montréal au cours des semaines du 23 et du 30 mars. Ces rencontres inviteront les jeunes à réfléchir à leur avenir en alliant la théorie avec la pratique. Les ambassadeurs partageront ensuite le fruit de ces rencontres avec les médias et le public. Cette initiative des Productions du Rapide-Blanc, de la productrice Sylvie Van Brabant et de la réalisatrice Marie-Josée Cardinal, auxquelles s’est joint HEC Montréal, a reçu un financement de 150 000$ du ministère de l’Environnement et du Changement climatique à travers le Fonds d’action pour le climat. «À mesure que nous travaillons à l’atteinte de zéro émission nette de carbone d’ici 2050, des initiatives comme celles-ci sont essentielles pour inspirer des mesures climatiques et des solutions de croissance propre», a soutenu le ministre de l’Environnement et du Changement climatique Jonathan Wilkinson. Une Longueuilloise impliquée [caption id="attachment_86884" align="alignleft" width="376"] Abrielle Sirois-Cournoyer[/caption] Parmi les cinq facilitateurs impliqués dans ces courts métrages se trouve Abrielle Sirois-Cournoyer. Dans le cadre de sa maitrise en gestion de l’innovation sociale, elle s’est intéressée au low-tech afin de «réfléchir à la façon de concevoir nos outils et techniques de demain». «J’ai réalisé et terminé mon mémoire en 2018, dans le but d’inspirer les futures générations à comprendre l’impact que peuvent avoir les techniques d’aujourd’hui et voir de quelle manière nos techniques peuvent nous rendre autonomes, être soutenables et accessibles au plus grand nombre.» (A.D.) Rens.: www.changerdecap.ca