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Cré-moé, cré-moé pas

le mardi 15 mars 2022
Modifié à 0 h 00 min le 12 mars 2022
Par Coopérative funéraire du Grand Montréal

Les chansons Ginette, Le picbois et La Complainte du phoque en Alaska… est-ce que ce sont des titres qui résonnent dans vos oreilles?

Vous êtes nombreux à avoir en votre possession un album de Beau Dommage. Tous les opus du groupe ont atteint le statut de disque d’or, ce qui signifie au moins 50 000 exemplaires vendus. 

Beau Dommage est un groupe folk/rock québécois formé en 1972. La formation musicale se distingue surtout par le son unique des harmonies vocales, l’originalité et la qualité des textes, l’éclectisme des musiques et la quantité impressionnante de créateurs au sein du groupe.

Une coopérative, un terreau fertile créatif

Unique en son genre au Québec, et non seulement en raison de son influence sur la musique d’ici, Beau Dommage, dès ses débuts et encore aujourd’hui, fonctionne comme une coopérative. Les chansons doivent être écrites expressément pour la formation et être acceptées à l’unanimité, les arrangements sont décidés par le groupe, et les profits sont partagés à parts égales entre les membres. Ils ont décidé dès le départ de ne pas traiter Beau Dommage de façon mercantile. C’est en s’astreignant à respecter des règles quasi monastiques qu’ils ont créé une véritable signature.

En effet, les origines de Beau Dommage remontent à la coopérative théâtrale La Quenouille Bleue, une organisation à caractère loufoque dont les thèmes principaux étaient liés à l’humour, à la musique et à l’abstrait. Les quatre membres originaux du groupe Beau Dommage, soit Michel Rivard, Robert Léger, Michel Hinton et Pierre Huet, y sortiront leur plume pour écrire leurs premières chansons. Celles-ci déclencheront une révolution dans le paysage québécois avec la naissance de Beau Dommage, dont le nom s’inspire d’une vieille expression québécoise signifiant « bien sûr, bien entendu ». Trois membres se grefferont par la suite au quatuor, soit Pierre Bertrand, Marie-Michèle Desrosiers et Réal Desrosiers, pour la mise en marché de leur premier album, paru en 1973, avec tout le succès qu’on lui connaît.

 

Caroline Cloutier, Directrice marketing et communication de la Coopérative funéraire du Grand Montréal

 

Quand les consommateurs co-créent l’innovation

Par essence, le marketing s’est toujours appuyé sur une analyse des besoins de consommateurs pour développer de nouvelles offres. En devenant membre de la Coopérative funéraire du Grand Montréal, vous avez l’opportunité de co-créer avec nous. En assemblée ou tout au long de l’année, nous accueillons les idées, les contenus et les projets que nos membres nous soumettent pour en faire une analyse, retenir les meilleurs et les proposer en assemblée aux membres afin de constituer un processus d’innovation ouvert. Quand des consommateurs visionnaires s’investissent non pas pour leur profit personnel, mais pour offrir une justice et un mieux-être collectif, c’est ça la coopération! Devenir membre de la Coopérative funéraire du Grand Montréal est une façon bienveillante de répartir les excédents de la coopérative au bénéfice des services offerts à l’ensemble de nos membres. Notre patrimoine collectif permettra à davantage de Québécois d’obtenir de meilleurs services et d’avoir des funérailles dignes, de qualité et à un prix juste.

Devenir membre de la Coopérative funéraire du Grand Montréal? Bien sûr, bien entendu! https://www.cfgrandmontreal.com/devenir-membre/